Exceptionnellement, la démonstration de la danse effectuée par Joséphine Fradet et dont cette chanson sert de support, est menée à quatre pas. Ceci n’est pas une erreur de sa part, mais bien la démonstration que les pas s’accordent aussi à la construction rythmique d’une chanson.
À ce jour, il n’a été retrouvé que quelques exemples de cette chanson pourtant populaire dans le Nord-Ouest vendéen et Sud-Ouest de la Loire-Atlantique si l’on se réfère à Armand Guéraud dans En Bretagne et Poitou, chants populaires du Comté nantais et du Bas-Poitou recueillis entre 1856 et 1861.