Quand j'ai mis le pied à la danse

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Paroles

 Quand je mis le pied à la danse (bis)
 A la main de ma bien-aimée
 J'ai mon amant bien éloigné

 Il me dit tout bas à l'oreille (bis)
 Belle as-tu de l'amitié pour moi
 J'ai mon amant bien loin de moi

 Comment veux-tu que j'en aurai (bis)
 Après tout ce que l'on dit de toi
 J'ai mon amant bien loin de moi

 L'on dit que tu vas à la guerre (bis)
 A la guerre pour servir le roi
 J'ai mon amant bien loin de moi

 Quand tu seras dans Lille en Flandres (bis)
 A moi tu ne penseras pas
 J'ai mon amant bien loin de moi

 Tu penseras à ces îlaises (bis)
 Qui sont cent fois plus belles que moi
 J'ai mon amant bien loin de moi

Complément par la version de Fernande
Corbrejaud, de l’Epine, née en 1896 :
 Je ferais faire une figure (bis)
 Qui ressemblera-t-à celle de toi
 Adieu la belle car je m'en vas

 Je la mettrais à ma ceinture (bis)
 Cent fois le jour je l'embrasserai
 Adieu la belle car je m'en vais

 Que diront-ils tes camarades (bis)
 De voire embrasser ce portrait
 J'ai mon amant bien éloigné

 Je leur dirai mes camarades (bis)
 C'est le portrait de ma bien-aimée
 Adieu la belle car je m'en vais

Cote(s)

PC : 03008 ; CL : III, A-20 ; OPCI : EA-00202 ;

Contexte

Cette chanson fut particulièrement répandue à l’Épine. Cette version, pour mener la "ronde à la mode de l’Épine", a été collectée auprès de Joséphine Fradet (1908- 2005), de L’Épine, par Régine-Eva et Michel Pénisson, en 1980.

Mentionnée dans tous les pays francophones, on peut en retrouver une autre version vendéenne dans Chants et chansons populaires des Provinces de l'Ouest (2 vol., in-4°, musique), de Jérôme Bujeaud, Niort, Clouzot, 1864-1865. (rééd. Laffitte Reprints, Marseille), page : t.I, p.291-292, 9c, 1tn.

Catégorie(s)

Fonds ancien ; Rondes ; Ronde à la mode de l’épine ;

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