Cette ronde est extraite de l’ouvrage de Sylvain Trébucq, La chanson populaire en Vendée, Paris, lib. Émile Chevalier, 1896. Il donne pour note en bas de page : « Quand c’est une femme qui doit entrer en danse, on chante : Pierrette, ma Pierrette. Et puis plus loin : Va-t’choisir un mari ». Il ne précise cependant pas la localisation de l'informateur.
Présentée ainsi, elle s’apparente à une ronde à marier, encore pratiquée dans le Bocage vendéen dans les années 1970. Elle était au programme des bals de noces ou de sociétés pour soutenir la danse du tapis ou la danse de la brioche. De nombreux musiciens l’avaient aussi à leur répertoire comme marche de noce.