Georges Bourgois, dans Vieilles chansons du bocage vendéen (In-8°, XXXI-150 p., musique), édité par P. Bossuet, à Paris, en 1933, donne une version musicale de ce chant bref. C’est l’une des nombreuses versions recueillies tant en Vendée qu’un peu partout en France.
Le folkloriste précise : « Elle se chante plus particulièrement du côté de Talmont » et complète par « la cadence de cette chanson est bien la cadence indiquée par la marche d'un cheval au pas ».