Dans l'ouvrage Ile d’Yeu. Chansons islaises, édité par Tradis, Saint-Jean-de-Monts, en 1989 d'où est extraite cette pièce, Geneviève Feuillebois-Murique précise « à la fois chanson de cortège de la mariée et une danse en rond ».
Un antécédent est publié dans Brunetes ou Petits airs tendres, avec doubles et la basse continue, meslés de chansons à danser (3 vol.) édité de 1703-1711 par Jean-Baptiste-Christophe Ballard, à Paris, dans le tome III, p. 263.