La version boquine de l’angoise est habituellement associée, pour les Vendéens, au Marais breton. On en trouve toutefois aussi en pays de Retz et en Ille-et-Vilaine. La version livrée ici par Auguste Brin, de Beaurepaire, montre que cette danse était également pratiquée dans le Haut-Bocage vendéen. Mais quelle en était la chorégraphie ?
La partition proposée a été réalisée à partir du collectage de Louis Joint en 1953, auprès d’Auguste Brin.