C’est au cours de la première enquête menée par Tap Dou Païe, dans les semaines qui ont suivi sa fondation en 1969-70, que Pierre Burgaud (1898-1993) montra cette ronde aux jeunes danseurs. Apprise directement « sur le tas », il n’existe pas d’enregistrement de l’original. Pierre Burgaud ainsi que son épouse, des voisins…, assistaient à cette veillée organisée à l’Abbaye d’Orouët, à Saint-Jean-de-Monts. Plusieurs danses ont été apprises ainsi.
Collectée plusieurs fois en Vendée, notamment auprès du célèbre clarinettiste Gabriel Ouvrard, de La Jaudonnière, ce chant du type « randonné » est nationalement répandu. Une version parle de Béarnaise dans, Chants populaires de la Grande-Lande, de Félix Arnaudin, H. Champion, Paris ; Féret et Fils, Bordeaux, 1912.