La guenille à Pierrot pendouille

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Paroles

La guenille à Pierrot pendeuille )
La guenille à Pierrot ) bis
L’avez pas vue pendier les feuilles )
La guenille à tio sot ) bis

Cote(s)

OPCI : EA-01212 ;

Contexte

Extrait de l’album vinyle Chez Alfred, Violons du Bocage, n° 3, réf. UP 47, produit par l’UPCP, Geste paysanne, en 1985.
Alfred Talon est né en 1908 à Saint-Marsault, aux portes de la Vendée, puisque Menomblet n’est qu’à 5 km. Aussi, le premier portrait du violoneux est tiré à Saint-Pierre-du-Chemin, distant de 8 km de la ferme familiale, La Chauvelière. Alfred Talon a mené une vie de musicien particulièrement intense, jouant quasi professionnellement près de 40 ans, puis exerça son art pour les clubs de 3e âge. Il fut une précieuse personne ressource pour les membres de l’ARCUP et l’UPCP depuis les années 1970. L’album d'où sont extraites ces informations et les sources sonores, est riche d’informations sur ce qu’était la vie d’un musicien rural. L’enregistrement est de Jean-Pierre Baudouin.

Positionnée en face 1, plage 2, La gueneille à Pierrot est donnée par Alfred Tallon comme « air d’avant-deux pour débutant ». C’est ce que déclarait François Simon dans son Chansons populaires de l’Anjou. (A) (In-16, XV-590 p., avec musique, édité par A. Bruel, à Angers, en 1926, précise que « à La Romagne (49), on chante : La gueneill’ à Pierrot pendeille sur un air différent et très simple, qui constitue le premier exercice de l’apprenti-violonneux ». Une partition est publiée dans le Bulletin des Antiquaires de l’Ouest, 4e trimestre 1842, signée A. de Villegille, Société des Antiquaires de l’Ouest, sous la référence : pl. II, air de danse donné à Bazoges-en-Paillers, près de Saint-Fulgent.

Catégorie(s)

Fonds ancien ; Branles ; Avant-deux ; Chansons ;

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