La belle entendue par le fils du roi
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Paroles
Là-haut, là-bas dans ces grands bois (bis)
Il y a une bergère lalire
Il y a une bergère lala
Et qui chantait si haut si clair
Que tout le monde l'entende
Le fils du roi l'a entendue
De sa plus haute chambre
Sellez bridez-moi mon cheval
Que j'aille voir qui chante
Il ne fut pas à milieu bois
La chanson fut finie
Il y a une bergère lalire
Il y a une bergère lala
Et qui chantait si haut si clair
Que tout le monde l'entende
Le fils du roi l'a entendue
De sa plus haute chambre
Sellez bridez-moi mon cheval
Que j'aille voir qui chante
Il ne fut pas à milieu bois
La chanson fut finie
Cote(s)
PC : 03805 ; CL : I, J-05 ; EA : 01447 ;Contexte
Marie-Josèphe Bretet, née en 1902, à Île d'Yeu, a été collectée par Marie-Thérèse Couthouis et Lionel Cantin en 1973. Ces enquêtes, aujourd’hui confiées à Arexcpo, correspondent à celles menées par Francine Lancelot, pour le Musée de la Parole. Marie-Josèphe Bretet avait été repérée par les deux enquêteurs locaux qui recueillaient danses, chansons et musiques pour créer le groupe Le Vircouet, dont ils sont fondateurs.
Cette chanson est révélée dans toute la France, comme en Vendée par Sylvain Trébucq, dans La chanson populaire et la vie rurale des Pyrénées à la Vendée. 2 vol., in-8°, musique, Féret et Fils, Bordeaux, en 1912, t. II, page 186, et par Geneviève Feuillebois-Murique, publiée dans Ile d'Yeu. Chansons islaises, Tradis, Saint-Jean-de-Monts, en 1989. La plus ancienne version est éditée dans Des chansons populaires et historiques en France, par Edmé-Jacques-Benoît Rathery, Le moniteur universel, de 1853.
Cette chanson est révélée dans toute la France, comme en Vendée par Sylvain Trébucq, dans La chanson populaire et la vie rurale des Pyrénées à la Vendée. 2 vol., in-8°, musique, Féret et Fils, Bordeaux, en 1912, t. II, page 186, et par Geneviève Feuillebois-Murique, publiée dans Ile d'Yeu. Chansons islaises, Tradis, Saint-Jean-de-Monts, en 1989. La plus ancienne version est éditée dans Des chansons populaires et historiques en France, par Edmé-Jacques-Benoît Rathery, Le moniteur universel, de 1853.