Ce sont trois dames de Paris
Ecouter
Partition
Télécharger Fichier midi
Paroles
Ce sont trois dames de Paris (bis)
Qui ont fait blanchir leur logis
Belle Ji, belle Jea, belle Jeanneton
Belle j'entends bien
Tourner la meule de mon moulin
Quand il va bien
Qui ont fait blanchir leur logis (bis)
Depuis la porte jusqu'au lit
Depuis le lit jusqu'au jardin
Dans ce jardin, il y a-t-un coin
Dans ce coin, il y a-t-un buis
Tous les oiseaux y font leurs nids
La caille et la jolie perdrix
Elle dit dans son joli latin
Que tous les hommes ne valent rien
Et les garçons encore bien moins
Pour les madames, je n'en dis rien
Pour les demoiselles beaucoup de bien
Qui ont fait blanchir leur logis
Belle Ji, belle Jea, belle Jeanneton
Belle j'entends bien
Tourner la meule de mon moulin
Quand il va bien
Qui ont fait blanchir leur logis (bis)
Depuis la porte jusqu'au lit
Depuis le lit jusqu'au jardin
Dans ce jardin, il y a-t-un coin
Dans ce coin, il y a-t-un buis
Tous les oiseaux y font leurs nids
La caille et la jolie perdrix
Elle dit dans son joli latin
Que tous les hommes ne valent rien
Et les garçons encore bien moins
Pour les madames, je n'en dis rien
Pour les demoiselles beaucoup de bien
Cote(s)
EA : 00463 ; PC : 02409 ; CL : I, F-18 ;Contexte
Cette chanson en laisse a été recueillie auprès d’Eva Burgaud (1908-1999), de Châteauneuf, par Paul Grollier, alors salarié d’Arexcpo, le 6 août 1990. Soixante et une pièces collectées auprès de cette remarquable chanteuse figurent aujourd’hui dans les collections d’Arexcpo.
Patrice Coirault, dans Formation de nos chansons folkloriques, consacre une étude à cette chanson particulièrement répandue dans le Nord-Ouest vendéen et souvent recueillie en tant que pièce à mener les rondes ou grand’danse. Si on n’en connaît pas, à ce jour, d’antécédent ancien, elle est publiée dans maints ouvrages du XIXe siècle tant en France qu’au Québec.
Patrice Coirault, dans Formation de nos chansons folkloriques, consacre une étude à cette chanson particulièrement répandue dans le Nord-Ouest vendéen et souvent recueillie en tant que pièce à mener les rondes ou grand’danse. Si on n’en connaît pas, à ce jour, d’antécédent ancien, elle est publiée dans maints ouvrages du XIXe siècle tant en France qu’au Québec.